Auberge du Dernier Repos

Seule auberge digne de ce nom. Ou plutôt seul endroit où vous pouvez passer la nuit dans une relative sécurité. En effet, Dame Glaydis, la patronne a engagé une véritable petit armée de nains comme service d'ordre dans son auberge . Mais il y a toujours un aldoens ou deux qui vient y régler les comptes d'un client .

*Arrive devant l'auberge et cherche une écurie*

Un solide nain s'approche de Aethiel d'un air menaçant, une lourde hache pendant à sa ceinture. Commence à grogner.
Alors? Vous m'le donnez vot'cheval? A moins qu'vous vouliez l'foutre dans l'écurie vous même?

*Regarde le nain d'un air surpris*
Mais faites.

*Regarde si son cheval se dirige bien vers l'écurie d'un air suspicieux puis rentre finalement dans l'auberge*

Une fois rentré, Aethiel aperçoit que la salle est bondée, il peut même entendre une personne se faire rosser dans la cave sous ses pieds, un homme de petite taille se dirige vers Aethiel et demande:
Que puis je pour vous monseigneur?
Son haleine empeste l'alcool et ses dents sont pourries, sa démarche avinéée laisse voir qu'il n'en est pas à son premier verre.

Huumm, j'aurais besoin de quelques renseignements. Premièrement, je cherche un nain du nom de Tartak, si vous pouviez me désigner une personne capable de me renseigner ce serait bien aimable à vous. Je vous prendrais une chope tout à l'heure j'ai d'abord quelques courses à faire.
*Puis adresse un léger sourire amical au nain.*

Se frotte le nez en prenant une moue pensive.
Je .. vais voir c'que j'peux faire m'ssieur ...
Puis repart d'une démarche incertaine.

Merci bien.
*Puis trébuchant à moitié sur un corps avachi se rattrape au mur et décide d'y attendre le nain en regardant les différentes scènes se jouant devant ses yeux.*

Durant l'absence du nain Aethiel peut assister à quelques rixes très violentes se réglant sur des tables, l'argent y change de main et le sang coule, abondamment. Quelques aguicheuses, attirées par le physique avantageux d'Aethiel tentent de le racoler tandis que le nain ne réapparaît toujours pas.

*Essaye de ne pas prêter attention aux avances des femmes s'approchant sans être mal poli pour autant tout en veillant bien à ce que sa bourse ne change pas d'emplacement.*

Au bout d'une minute d'insistances inutiles, les jeunes femmes s'en vont trouver un autre damoiseau qui, lui, semble apprécier l'effort de ces dames. Quelques minutes après, le petit revient, encore plus saoul que précédemment avec des nouvelles qu'il balbutie dans un langage à peu près cohérent:
Y'a ti même pas deux trois gus qui peuv'm'dire autre chose que ni ni non. Qu'dalle sur ton poteaux le Nabot polu dont jm'en souviens même plus dson prénominage. Et pfuiii ! Il s'est envolé !
S'éffondre aux pieds d'Aethiel.

Merci de ces... explications. *non ravi de cette réponse, il sorti de l'auberge, vérifia au passage que son cheval ainsi que ses sacoches se portaient toujours aussi bien en leur jetant un coup d'œil en marchant devant l'écurie, puis prit la direction du marché*

*Rentre à nouveau dans l'auberge et va s'assoir au bar afin qu'on lui serve un repas simple et quelque chose à boire*
N'importe quoi qui ne fasse pas se retourner mes tripes, précisa t-il au serveur.

Une dizaine de minutes plus tard un fille rousse et rondelette amène un plat d'andouillette avec du choux, le tout a un fumet acceptable. Elle le dépose sur la table assez brusquement.
V'la mon mignon !
Puis s'en retourne en cuisine.

Merci... *d'un air soulagé que les éclats de sauce qui venaient de passer à quelques centimètres de ses habits n'aient pas atterris sur lui. Puis commence à manger.*

*Une fois son repas terminé, regarde les gens qui l'entourent puis se décidé à aller régler la note pour son repas.*

Ils arrivèrent en vue de la ville de Froide Lame. Elle était laide,à un point qu'il estimait inimaginable. Ils étaient vraiment censés se rendre là-dedans? Perplexe, il regarda son épouse d'un air interrogateur: celle-ci ne prononça pas un mot, elle se contenta de regarder la ville les sourcils fronçés, en faisant la moue à cause de l'odeur.

"Dites-moi qu'on ne doit pas entrer dans ce trou paumé, je vous en prie, Wernax!" Ils entrèrent, de plus en plus dégoutés par ce qu'ils voyaient: "bon, je dois me faire à l'idée que si hélas... Bien, allons à cette maudite auberge tout de suite, plus vite ce sera fait, plus vite nous seron parti de ce lieu pourri..."

Ils entrèrent dans l'auberge:un chaos pas possible se faisait entendre, ils s'assirent donc à une table à l'écart sans dire un mot, Vlad ne cessant de jeter des regards mauvais et méprisants aux indigènes.

"Bien, maintenant que nous sommes installés dans ce charmant lieu, peut-etre allons-nous enfin savoir pourquoi on nous a demandé de venir ici... Wernax, vous en avez une idée?" Il avait dit tout cela dans un murmure, pour que personne ne puisse les entendre...

Avant même que Wernax n'ait le temps de répondre un gnome au teint rougeaud s'avance en titubant.
Pour les deux messires et la ...
regarde Serena de haut en bas avec un réel plaisir.
...charmante demoiselle, qu'est ce que se sera?
Serena jette un coup d'œil mis amusée mis dégoûtée au nabot.

*Arrive au niveau de ces personnes devant la porte de l'auberge pour en sortir*
Veuillez m'excuser, tout en saluant poliment la dame, puis les deux hommes et attendant que le passage se libère.

A vrai dire j'allais partir, *semblant quelque peu gêné au premier abord* mais la compagnie de gens présentable dans cette ville se fait rare...*jetant un coup d'œil au nabot qui venait de se faire remettre à sa place* ...allons donc, j'accepte en vous remerciant de votre invitation. *Dit il finalement. D'un visage souriant*
Mon nom est Aethiel.

Le nabot fixa Vlad d'un œil agacé et lui répondit d'un ton narquois et amusé, ayant instantanément dégrisé:
Excusez moi altesse, j'avais oublié que les vampires avaient toujours cette once d'arrogance même quand ils ne sont pas chez eux .... alors apprenez que ici, les nobles ne font pas la loi et encore moins dans mon auberge. Alors si tu veux faire de vieux os, tu me laisse mater ta catin et tu parles un ton plus bas.
Le gnome étant connu dans l'auberge, les conversations s'arrêtent, deux nains à la mine revêche s'approchent de la rixe verbale et demandent d'un ton bourru:
Un problème? Ya quelqu'un à virer?
Le gnome répondit d'un ton fatigué:
Mais non, nous sommes en charmante compagnie ...

Mais oui, et il n'y a pas lieu de lever la voix ainsi, allons donc nous assoir comme prévu. *tentant de calmer tout ce monde et se dirigeant déjà vers un table* Vous ne m'avez toujours pas dit votre nom.